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Jean-Jacques Dordain avec Pierre Lellouche et Werner Hoyer au siège de l'ESA le 15 juin 2010
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Visite au siège de l'ESA de Pierre Lellouche et Werner Hoyer

17/06/2010 297 views 0 likes
ESA / Space in Member States / France

Pierre Lellouche, Secrétaire d’Etat chargé des Affaires européennes dans le gouvernement français et Werner Hoyer, Ministre adjoint aux Affaires étrangères dans le gouvernement allemand, tous les deux Secrétaires généraux pour la coopération franco-allemande, ont visité le siège de l’ESA le 15 juin.

Ils ont été reçus par Jean-Jacques Dordain, Directeur Général de l’Agence Spatiale Européenne, qui a présenté l’Agence et l’état d’avancement des différents projets qu’elle mène dans tous les domaines d’activité de l’Europe spatiale.

Lors de sa présentation, Jean-Jacques Dordain a souligné que l’ESA est une des seules agences spatiales au monde qui développe, en même temps, des activités scientifiques et des applications spatiales. Ceci a permis la création de synergies importantes par le transfert des progrès scientifiques et technologiques vers des applications au service des citoyens. La politique industrielle de l’ESA, qui a été à l’origine de la création d’une industrie spatiale européenne compétitive au niveau mondial a été aussi présentée et discutée.

Les deux Ministres ont, dans leurs déclarations, reconnu l’ESA comme une agence qui « brille très haut sur le ciel européen », un « vrai manager de programmes européens » qui, avec un budget sensiblement inférieur au budget dédié par d’autres puissances spatiales au monde, a pu positionner l’Europe spatiale au premier rang dans un certain nombre de domaines clé pour l’Europe et ses citoyens. Ils ont salué l’ESA et l’espace comme un domaine apportant des réponses aux technologies d’avenir. Les enjeux dans les domaines de la défense et de l’exploration humaine de l’espace ont également été évoqués.

Les Ministres ont aussi souligné la mise en place d’une politique spatiale européenne, dans le nouveau cadre institutionnel créé par l’adoption du Traité de Lisbonne et le besoin de s’appuyer fortement sur l’ESA pour sa mise en œuvre.